Un caporal donne quelques conseils à un jeune homme qui vient d'acheter une moto. L'impatience d'une femme la met dans le pétrin lorsqu'elle est arrêtée.

Une femme tente de piéger son amie sous les yeux des policiers. Un homme en possession d'un camion volé insiste sur le fait que c'est son ami qui est en tort.

Des suspects en fuite risquent leur vie en se cachant dans un dangereux marais. Pour un chauffeur, un camion en panne n'est que le début d'une longue liste de problèmes. Les adjoints sympathisent avec une femme qui a été mise à rude épreuve.

En février 2014, Marie Varnerot, 17 ans, est retrouvée morte dans son appartement à Maincy, en Seine-et-Marne. L'adolescente a été droguée, puis étouffée. Anita, sa maman, met les policiers sur piste : une histoire de chantage dont sa fille aurait été victime. Pourtant, les enquêteurs vont découvrir que la vérité est à la fois plus simple, mais aussi beaucoup plus tragique qu'ils ne l'imaginaient.

En mai 1995 dans le Rhône, Vincent, son épouse Odette, et deux de leurs trois enfants ont été assassinés. Samantha, l'unique rescapée, est suspectée.

Pierre Bellemare revient sur deux affaires qui ont causé bien des tourments à la police. La première concerne un homme, agressé chez lui et tué à coups de hache ; la seconde, une call-girl retrouvée morte sur le bas de la route..

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

Juin 2012. Marina Ciampi est retrouvée morte chez elle. Les inspecteurs découvrent qu'elle cherchait l'amour sur Internet. A-t-elle fait une mauvaise rencontre.

L'agent Jade découvre du matériel de sorcellerie, les douanes font la lumière sur des abat-jour mexicains suspects et les fonctionnaires de l'immigration interrogent un homme âgé.

Les services de l'immigration découvrent une tentative d'établissement d'un commerce dangereux et illégal en Nouvelle-Zélande, et les douanes découvrent un trafic de drogue.

Un drapeau rouge est levé à la frontière par un Brésilien qui prétend n'être là que pour 12 jours mais qui transporte une quantité remarquable de biens.

Un trafiquant d'héroïne condamné s'oppose à un contrôle approfondi à la frontière. Un colis emballé dans un emballage cadeau arrive avec un certain nombre d'articles à risque potentiel et un Iranien est découvert avec une multitude de paquets de cigarettes cachés dans ses vêtements.

En décembre 2008, Stéphane Kameugne, 24 ans, étudiant à l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons-en-Champagne, disparaît après la soirée de gala annuelle de remise des diplômes. Il est retrouvé noyé le 24 décembre. Une information est ouverte pour homicide volontaire, mais le crime n'a jamais été élucidé.

La Première Guerre mondiale va révolutionner la pègre, en la faisant basculer définitivement, à l'image de la société, dans la modernité. Les terreurs à casquette ont disparu dans la tourmente. Les trafiquants, minoritaires à la Belle Epoque, deviennent le modèle du Milieu. Pendant la première décennie, une nouvelle pègre se profile, qui s'installera définitivement dans les années 30. Ce "milieu", composé de voyous trop jeunes pour avoir connu la guerre, et d'autres, plus vieux, passés au travers, s'adapte à son temps. Le travail à la dure disparaît, laissant place aux trafics de toutes sortes : drogue, armes et, de plus en plus, êtres humains.

Durant les années 1930, le milieu s'est modernisé, s'adaptant à de nouvelles activités. Si le braquage est en vogue, le trafic en tout genre ainsi que le racket ont pris une place prépondérante. Des spécialités qui vont connaître des sommets pendant la Seconde Guerre mondiale. Les années d'Occupation vont être parmi les plus "belles" de la pègre, propices à toutes les combines. Qu'ils aient préféré le camp des occupants, celui de la Résistance, les deux ou même aucun, nombre de voyous vont toucher le gros lot. Les liens avec le monde politique, notamment développés avant-guerre à Marseille, vont apparaître au grand jour.

La voiture d'une jeune femme est criblée de balles et sa conductrice disparaît. Une seule certitude: elle était encore en vie lorsqu'on l'a extraite du véhicule. Une jeune chanteuse disparaît. Des caméras de surveillance apportent le meurtrier sur un plateau à la police.

Un meurtre laisse la police perplexe. Avec très peu d'indices et aucun mobile apparent, celle-ci ne sait vers quelle piste se tourner. Un corps calciné est retrouvé près d'un chantier. Quelle est l'identité de la victime.

Septembre 2005. Le corps sans vie d'Audrey Jouannet est retrouvé caché sous son lit. Alors que le meurtrier a effacé toutes les traces, la police retrouve du sperme sur la victime.

Samedi 4 décembre 2004. Trente policiers de la PJ d'Orléans sont saisis pour enquêter sur la disparition d'une femme dont on n'est sans nouvelles depuis la veille.

Le 19 avril 2008, un homme alerte la gendarmerie de Ginestas, dans l'Aude. Il explique qu'il est sans nouvelles de sa mère, Jocelyne, ex-comptable, et de son beau-père, Jean-Claude Saint-Aubert, ingénieur aéronautique. Pour les gendarmes, débute alors une course contre la montre pour retrouver celui ou ceux qui ont kidnappé Jocelyne et Jean-Paul.

Au mois d'avril 2003, la police est avertie de la disparition inquiétante depuis une semaine de toute une famille du Grand-Bornand. La piste de l'accident, d'abord privilégiée par les enquêteurs, ne débouchant sur rien, les techniciens en identification criminelle investissent le chalet de la famille Flactif. Les premiers éléments qu'ils recueillent font présager le pire. Le chalet étant très vaste et l'enquête délicate, les enquêteurs font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). La fixation de la scène de crime est la première priorité de ces spécialistes.

Le 23 octobre 2015, sur la commune de Puisseguin, en Gironde, un autocar percute un camion sur une petite route. Immédiatement, les deux véhicules s'embrasent. Dans l'heure qui suit, les équipes de l'Institut de recherche criminelle sont mobilisées. Comme pour le crash de la Germanwings, l'identification des victimes est un enjeu capital. Cette identification est rendue difficile par l'état des corps qui sont carbonisés. Un expert en accidentologie et un autre du groupe incendie sont du voyage. Leur rôle sera d'analyser la collision et de rechercher les causes de l'embrasement très rapide des deux véhicules.

La voiture d'une jeune femme est criblée de balles et sa conductrice disparaît. Une seule certitude: elle était encore en vie lorsqu'on l'a extraite du véhicule. Une jeune chanteuse disparaît. Des caméras de surveillance apportent le meurtrier sur un plateau à la police.

Les services de l'immigration découvrent une tentative d'établissement d'un commerce dangereux et illégal en Nouvelle-Zélande, et les douanes découvrent un trafic de drogue.

Un drapeau rouge est levé à la frontière par un Brésilien qui prétend n'être là que pour 12 jours mais qui transporte une quantité remarquable de biens.

Un trafiquant d'héroïne condamné s'oppose à un contrôle approfondi à la frontière. Un colis emballé dans un emballage cadeau arrive avec un certain nombre d'articles à risque potentiel et un Iranien est découvert avec une multitude de paquets de cigarettes cachés dans ses vêtements.

Le 20 février 2007 s'ouvre à Quimper le procès d'Alban Novembre, qui comparaît devant la cour d'assises du Finistère pour le meurtre d'un certain Pierre Mevel. La victime, bénévole à la cathédrale de Quimper, préparait la messe lorsqu'elle a été sauvagement attaquée, dans l'après-midi du 20 juin 2004. Les trois jours d'audience doivent permettre de cerner la personnalité de l'accusé, à la santé mentale défaillante. S'agit-il d'un crime prémédité ou l'agresseur était-il totalement irresponsable au moment des faits ? A la barre, les experts sont unanimes : Alban Novembre souffre de schizophrénie. Le jury aura donc le choix entre une lourde condamnation et l'acquittement.

Le 27 février 2009, Christel Sextus abat de trois balles de revolver son concubin, Michel Bonnet, dans la maison du couple à Pomerols, dans l'Hérault.

En décembre 2003, la police est avertie que le corps sans vie d'un homme a été retrouvé dans le parking d'un centre commercial, situé près de Carpentras. Après enquête, il s'avère que la victime, Guy Pouriel, 71 ans, sortait d'un sex-shop et que le tueur a pris la fuite à bord d'une fourgonnette blanche. En février 2004, au cours d'un banal contrôle d'identité, la police pense avoir retrouvé le propriétaire de la camionnette. Il s'agit d'un dénommé Eric Zago. Placé en garde à vue, il va rapidement avouer être l'auteur du crime. Lorsqu'il passe devant la cour d'assises d'Avignon en 2006, Eric Zago explique quel était son mobile.

Stéphane Audibert, un jeune homme de 24 ans, a été condamné à treize ans de réclusion criminelle en janvier 2006 pour avoir déclenché, dans le Var, un incendie volontaire au cours duquel plusieurs pompiers ont été grièvement blessés. L'accusé a toujours clamé son innocence. L'affaire rebondit juste après le premier procès : en effet, un inconnu a appelé les gendarmes, s'accusant lui-même du crime reproché à Audibert. Le procès en appel a eu lieu au mois de novembre 2006 à Aix-en-Provence. Les trois avocats du jeune homme ont plaidé l'acquittement. Retour sur cette affaire complexe qui, en son temps, avait fait couler beaucoup d'encre.

Retour sur les faits divers qui émaillent le parcours de l'un des plus médiatiques producteurs de Los Angeles, Suge Knight. Ses démêlés avec la justice ont jeté le trouble sur la galaxie rap. Depuis les années 90, cet ancien footballeur professionnel reconverti dans la musique a géré ses affaires sans scrupules.

Le 9 octobre 2001, les médecins urgentistes sont appelés par un couple de retraités. Ces derniers développent exactement les mêmes symptômes ; ils sont pris de violents vomissements. Les médecins ne comprennent pas.

Stéphane Audibert, un jeune homme de 24 ans, a été condamné à treize ans de réclusion criminelle en janvier 2006 pour avoir déclenché, dans le Var, un incendie volontaire au cours duquel plusieurs pompiers ont été grièvement blessés. L'accusé a toujours clamé son innocence. L'affaire rebondit juste après le premier procès : en effet, un inconnu a appelé les gendarmes, s'accusant lui-même du crime reproché à Audibert. Le procès en appel a eu lieu au mois de novembre 2006 à Aix-en-Provence. Les trois avocats du jeune homme ont plaidé l'acquittement. Retour sur cette affaire complexe qui, en son temps, avait fait couler beaucoup d'encre.

Marie Laurier est à la tête d'une grande société de parfumerie. Elle prétend que son mari et associé est homosexuel..

Juillet 2003. Alexandre Lagardère se tue à l'âge de 25 ans dans un accident de voiture. L'enquête démontre qu'il s'est endormi au volant après avoir absorbé des somnifères. Un mois plus tard, un homme, Christophe Fauviau, est interpellé : il est soupçonné d'avoir drogué Alexandre en mettant un peu de sédatif dans sa bouteille d'eau pendant qu'il disputait un match de tennis contre son fils, Maxime. Rapidement, l'enquête met au jour une terrible vérité : Christophe Faviau avait l'habitude de droguer les adversaires de Maxime pendant les tournois. Vingt-sept cas similaires vont ainsi être recensés sur une période de trois ans. Cet ancien militaire a finalement été condamné à huit années d'emprisonnement.

Michel Lambert, rédacteur en chef d'un journal de province, affirme que son épouse s'est lancée dans les massages thaïlandais pour gagner de l'argent..

Le 20 février 2007 s'ouvre à Quimper le procès d'Alban Novembre, qui comparaît devant la cour d'assises du Finistère pour le meurtre d'un certain Pierre Mevel. La victime, bénévole à la cathédrale de Quimper, préparait la messe lorsqu'elle a été sauvagement attaquée, dans l'après-midi du 20 juin 2004. Les trois jours d'audience doivent permettre de cerner la personnalité de l'accusé, à la santé mentale défaillante. S'agit-il d'un crime prémédité ou l'agresseur était-il totalement irresponsable au moment des faits ? A la barre, les experts sont unanimes : Alban Novembre souffre de schizophrénie. Le jury aura donc le choix entre une lourde condamnation et l'acquittement.

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Le 20 février 2007 s'ouvre à Quimper le procès d'Alban Novembre, qui comparaît devant la cour d'assises du Finistère pour le meurtre d'un certain Pierre Mevel. La victime, bénévole à la cathédrale de Quimper, préparait la messe lorsqu'elle a été sauvagement attaquée, dans l'après-midi du 20 juin 2004. Les trois jours d'audience doivent permettre de cerner la personnalité de l'accusé, à la santé mentale défaillante. S'agit-il d'un crime prémédité ou l'agresseur était-il totalement irresponsable au moment des faits ? A la barre, les experts sont unanimes : Alban Novembre souffre de schizophrénie. Le jury aura donc le choix entre une lourde condamnation et l'acquittement.

Un caporal donne quelques conseils à un jeune homme qui vient d'acheter une moto. L'impatience d'une femme la met dans le pétrin lorsqu'elle est arrêtée.

Marc Maurice, un ancien gendarme de 49 ans, a tué l'ancien compagnon de sa fille, Cédric, qu'il soupçonnait d'attouchements sexuels sur Jade, sa petite-fille. Le 18 août 2003, Marc tend un guet-apens à Cédric, qui se rend au domicile de son ex-compagne pour y chercher la petite Jade, avec qui il doit partir en vacances. Atteint d'une balle dans le dos et de plusieurs coups de crosse à la tête, Cédric succombe à ses blessures. Trois ans plus tard, la justice a tenté de démêler le vrai du faux dans cette affaire familiale. Marc ne regrette absolument pas son geste. Son épouse Monique encore moins qui, depuis le début, a tout fait pour séparer Jade de son père. Marc estime qu'il a fait justice là où la justice a failli. Il a finalement été condamné à 25 ans de réclusion criminelle, un verdict dont il a fait appel.

Une femme tente de piéger son amie sous les yeux des policiers. Un homme en possession d'un camion volé insiste sur le fait que c'est son ami qui est en tort.

Des suspects en fuite risquent leur vie en se cachant dans un dangereux marais. Pour un chauffeur, un camion en panne n'est que le début d'une longue liste de problèmes. Les adjoints sympathisent avec une femme qui a été mise à rude épreuve.

Le 5 septembre 2012, une voiture est retrouvée criblée de balles sur un parking de la Combe d'Ire, en Haute-Savoie. Un cycliste savoyard du nom de Sylvain Mollier, un touriste britannique du nom de Saad al-Hilli, ainsi que sa femme et sa belle-mère, ont été assassinés. Seules leurs deux fillettes ont survécu.

En février 2014, Marie Varnerot, 17 ans, est retrouvée morte dans son appartement à Maincy, en Seine-et-Marne. L'adolescente a été droguée, puis étouffée. Anita, sa maman, met les policiers sur piste : une histoire de chantage dont sa fille aurait été victime. Pourtant, les enquêteurs vont découvrir que la vérité est à la fois plus simple, mais aussi beaucoup plus tragique qu'ils ne l'imaginaient.

En mai 1995 dans le Rhône, Vincent, son épouse Odette, et deux de leurs trois enfants ont été assassinés. Samantha, l'unique rescapée, est suspectée.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Pierre Bellemare revient sur deux affaires qui ont causé bien des tourments à la police. La première concerne un homme, agressé chez lui et tué à coups de hache ; la seconde, une call-girl retrouvée morte sur le bas de la route..

Un petit ami généreux intervient pour empêcher sa petite amie d'aller en prison. Des agents sauvent un chaton qui veut se cacher dans un endroit dangereux. Un homme affirme qu'il a conduit un camion volé pendant une journée, mais il s'est trompé de quelques mois.

Un jeune couple passe trop de temps à se disputer au lieu de prêter attention à la route. Un conducteur bavard accumule une série d'accusations devant sa propre maison.

Au sommaire : Une jeune femme disparaît alors que sa voiture était tombée en panne. Les témoignages des deux personnes ayant surpris la scène ne semblent pas s'accorder. - Un cambriolage tourne mal.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

Un meurtre laisse la police perplexe. Avec très peu d'indices et aucun mobile apparent, celle-ci ne sait vers quelle piste se tourner. Un corps calciné est retrouvé près d'un chantier. Quelle est l'identité de la victime.

Juin 2012. Marina Ciampi est retrouvée morte chez elle. Les inspecteurs découvrent qu'elle cherchait l'amour sur Internet. A-t-elle fait une mauvaise rencontre.

Septembre 2005. Le corps sans vie d'Audrey Jouannet est retrouvé caché sous son lit. Alors que le meurtrier a effacé toutes les traces, la police retrouve du sperme sur la victime.

L'agent Jade découvre du matériel de sorcellerie, les douanes font la lumière sur des abat-jour mexicains suspects et les fonctionnaires de l'immigration interrogent un homme âgé.

Le 24 mars 2015, dans les Alpes, un A320 de la compagnie allemande Germanwings s'écrase en pleine montagne. L'avion qui reliait Barcelone à Düsseldorf transportait 150 personnes. L'identification des corps constitue une étape capitale pour être sûr de rendre les bons corps aux familles. En cas de telle catastrophe, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) doit pouvoir répondre rapidement aux interrogations des proches des victimes. L'autre axe de recherche prioritaire pour les scientifiques de la gendarmerie et ceux du Bureau d'enquêtes et d'analyses est bien sûr l'élucidation des causes de l'accident.

Les services de l'immigration découvrent une tentative d'établissement d'un commerce dangereux et illégal en Nouvelle-Zélande, et les douanes découvrent un trafic de drogue.

Un drapeau rouge est levé à la frontière par un Brésilien qui prétend n'être là que pour 12 jours mais qui transporte une quantité remarquable de biens.

Le 11 janvier 2002, dans la Somme, la gendarmerie est appelée pour un accident de la circulation. Quand ils s'aperçoivent que la conductrice a disparu, les gendarmes comprennent qu'ils ont affaire à quelque chose de bien plus grave. La voiture d'Elodie Kulik est le point de départ des premières investigations. Les experts de la gendarmerie doivent d'abord comprendre ce qui est arrivé au véhicule. Le 12 janvier, le corps calciné de la jeune femme est retrouvé dans la campagne. Un autre axe d'enquête s'ouvre alors, les enquêteurs scientifiques espérant trouver des traces ADN. Ce n'est que vingt ans plus tard que l'ADN trouvé sur la scène de crime permettra d'identifier l'un des auteurs du viol et du meurtre d'Elodie Kulik.

Un trafiquant d'héroïne condamné s'oppose à un contrôle approfondi à la frontière. Un colis emballé dans un emballage cadeau arrive avec un certain nombre d'articles à risque potentiel et un Iranien est découvert avec une multitude de paquets de cigarettes cachés dans ses vêtements.

En décembre 2008, Stéphane Kameugne, 24 ans, étudiant à l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons-en-Champagne, disparaît après la soirée de gala annuelle de remise des diplômes. Il est retrouvé noyé le 24 décembre. Une information est ouverte pour homicide volontaire, mais le crime n'a jamais été élucidé.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

La Première Guerre mondiale va révolutionner la pègre, en la faisant basculer définitivement, à l'image de la société, dans la modernité. Les terreurs à casquette ont disparu dans la tourmente. Les trafiquants, minoritaires à la Belle Epoque, deviennent le modèle du Milieu. Pendant la première décennie, une nouvelle pègre se profile, qui s'installera définitivement dans les années 30. Ce "milieu", composé de voyous trop jeunes pour avoir connu la guerre, et d'autres, plus vieux, passés au travers, s'adapte à son temps. Le travail à la dure disparaît, laissant place aux trafics de toutes sortes : drogue, armes et, de plus en plus, êtres humains.

Une femme demande à la police d'intervenir après que son ex a menacé de détruire sa maison. Une femme trouve un moyen dangereux de soulager sa douleur.

Un caporal donne quelques conseils à un jeune homme qui vient d'acheter une moto. L'impatience d'une femme la met dans le pétrin lorsqu'elle est arrêtée.

Durant les années 1930, le milieu s'est modernisé, s'adaptant à de nouvelles activités. Si le braquage est en vogue, le trafic en tout genre ainsi que le racket ont pris une place prépondérante. Des spécialités qui vont connaître des sommets pendant la Seconde Guerre mondiale. Les années d'Occupation vont être parmi les plus "belles" de la pègre, propices à toutes les combines. Qu'ils aient préféré le camp des occupants, celui de la Résistance, les deux ou même aucun, nombre de voyous vont toucher le gros lot. Les liens avec le monde politique, notamment développés avant-guerre à Marseille, vont apparaître au grand jour.

Une femme tente de piéger son amie sous les yeux des policiers. Un homme en possession d'un camion volé insiste sur le fait que c'est son ami qui est en tort.

Des suspects en fuite risquent leur vie en se cachant dans un dangereux marais. Pour un chauffeur, un camion en panne n'est que le début d'une longue liste de problèmes. Les adjoints sympathisent avec une femme qui a été mise à rude épreuve.

La voiture d'une jeune femme est criblée de balles et sa conductrice disparaît. Une seule certitude: elle était encore en vie lorsqu'on l'a extraite du véhicule. Une jeune chanteuse disparaît. Des caméras de surveillance apportent le meurtrier sur un plateau à la police.

Un meurtre laisse la police perplexe. Avec très peu d'indices et aucun mobile apparent, celle-ci ne sait vers quelle piste se tourner. Un corps calciné est retrouvé près d'un chantier. Quelle est l'identité de la victime.

Septembre 2005. Le corps sans vie d'Audrey Jouannet est retrouvé caché sous son lit. Alors que le meurtrier a effacé toutes les traces, la police retrouve du sperme sur la victime.

Samedi 4 décembre 2004. Trente policiers de la PJ d'Orléans sont saisis pour enquêter sur la disparition d'une femme dont on n'est sans nouvelles depuis la veille.

Frédéric Bourdin, ancien imposteur en série français que la presse surnomma "Le Caméléon", affirme avoir endossé au moins 500 identités différentes, dont celle de Nicolas Barclay, un jeune garçon disparu en 1994. Bien que Bourdin ait les yeux bruns et un accent français, il a réussi à convaincre les autorités texanes ainsi que la famille qu'il était leur fils blond aux yeux bleus.

Le 19 avril 2008, un homme alerte la gendarmerie de Ginestas, dans l'Aude. Il explique qu'il est sans nouvelles de sa mère, Jocelyne, ex-comptable, et de son beau-père, Jean-Claude Saint-Aubert, ingénieur aéronautique. Pour les gendarmes, débute alors une course contre la montre pour retrouver celui ou ceux qui ont kidnappé Jocelyne et Jean-Paul.

Christophe Rocancourt, un imposteur français, a escroqué des personnes riches et puissantes en se faisant passer pour un noble français, pour l'héritier de la famille Rockefeller, ou encore pour un prince russe. Ce n'est que lorsque sa femme américaine a alerté le FBI que Christophe Rocancourt a été arrêté et condamné à cinq ans de prison.

Au mois d'avril 2003, la police est avertie de la disparition inquiétante depuis une semaine de toute une famille du Grand-Bornand. La piste de l'accident, d'abord privilégiée par les enquêteurs, ne débouchant sur rien, les techniciens en identification criminelle investissent le chalet de la famille Flactif. Les premiers éléments qu'ils recueillent font présager le pire. Le chalet étant très vaste et l'enquête délicate, les enquêteurs font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). La fixation de la scène de crime est la première priorité de ces spécialistes.

Durant la période troublée de la Libération et de l'Epuration, les attaques à main armée font des ravages. Pour endiguer le phénomène, la préfecture de Paris crée, en 1946, la brigade des agressions, rattachée à la brigade criminelle. Le Milieu, déjà peu structuré, est complètement éclaté, désorganisé. Les truands qui ont viré collabos n'ont plus grand-chose à perdre et les jeunes issus de la guerre n'ont pas les scrupules des anciens. Sans compter que les armes pullulent. La voiture complète la panoplie du gangster.

Le 23 octobre 2015, sur la commune de Puisseguin, en Gironde, un autocar percute un camion sur une petite route. Immédiatement, les deux véhicules s'embrasent. Dans l'heure qui suit, les équipes de l'Institut de recherche criminelle sont mobilisées. Comme pour le crash de la Germanwings, l'identification des victimes est un enjeu capital. Cette identification est rendue difficile par l'état des corps qui sont carbonisés. Un expert en accidentologie et un autre du groupe incendie sont du voyage. Leur rôle sera d'analyser la collision et de rechercher les causes de l'embrasement très rapide des deux véhicules.

Les années 1970 marquent une nouvelle étape dans l'histoire du Milieu. C'est une époque charnière entre deux mondes. La vieille génération du mitan s'éteint doucement. Les hommes les plus anciens ont fait leurs classes durant les décennies 1930, 1940 et 1950. A la fin des années 1960 arrivent sur le marché les enfants de la guerre, qui ont grandi avec d'autres valeurs. La société a changé, la pègre également. Le Milieu n'est pas mort pour autant : il évolue une fois de plus. La came et son euphorie ont laissé une mauvaise ambiance. La descente est dure. Face aux peines encourues, les magouilleurs de tous poils, mêlés aux voyous traditionnels, ont balancé leurs complices. La mentalité en a pris un coup. Tout le monde se méfie de tout le monde.

La voiture d'une jeune femme est criblée de balles et sa conductrice disparaît. Une seule certitude: elle était encore en vie lorsqu'on l'a extraite du véhicule. Une jeune chanteuse disparaît. Des caméras de surveillance apportent le meurtrier sur un plateau à la police.

Une femme est sauvagement assassinée. Une piste mène la police à un réseau d'escort girl mais une preuve quasi-indétectable va permettre aux enquêteurs d'arrêter le vrai coupable. Un vol dans un restaurant tourne mal. Les enquêteurs ne disposent que de sang et d'une emprunte partielle : quelqu'un d'autre avait perdu du sang sur les lieux du crime.

Le 20 février 2007 s'ouvre à Quimper le procès d'Alban Novembre, qui comparaît devant la cour d'assises du Finistère pour le meurtre d'un certain Pierre Mevel. La victime, bénévole à la cathédrale de Quimper, préparait la messe lorsqu'elle a été sauvagement attaquée, dans l'après-midi du 20 juin 2004. Les trois jours d'audience doivent permettre de cerner la personnalité de l'accusé, à la santé mentale défaillante. S'agit-il d'un crime prémédité ou l'agresseur était-il totalement irresponsable au moment des faits ? A la barre, les experts sont unanimes : Alban Novembre souffre de schizophrénie. Le jury aura donc le choix entre une lourde condamnation et l'acquittement.

Lacanau. Nuit du 14 juin 2003. Jean-Pierre Glauzy est réveillé par des bruits dans la salle de son bar. Il se lève, prend une arme et tire sur Jamel Saifi, un jeune homme de 19 ans. Les trois amis du garçon, restés dans la voiture, entendent, à quelques secondes d'intervalle, deux détonations. Puis ils voient Jamel s'écrouler dans la rue. Prenant peur, ils s'enfuient. Mis en examen pour homicide volontaire et détention d'armes et de munitions, Jean-Pierre Glauzy prétend qu'il n'a réalisé la gravité de son acte qu'en voyant le corps étendu sur la chaussée. Lors de son procès, au printemps 2007, devant la cour d'assises de Bordeaux, les jurés ont tenté de comprendre s'il avait tiré sur Jamel Saifi avec l'intention de le tuer.

En décembre 2003, la police est avertie que le corps sans vie d'un homme a été retrouvé dans le parking d'un centre commercial, situé près de Carpentras. Après enquête, il s'avère que la victime, Guy Pouriel, 71 ans, sortait d'un sex-shop et que le tueur a pris la fuite à bord d'une fourgonnette blanche. En février 2004, au cours d'un banal contrôle d'identité, la police pense avoir retrouvé le propriétaire de la camionnette. Il s'agit d'un dénommé Eric Zago. Placé en garde à vue, il va rapidement avouer être l'auteur du crime. Lorsqu'il passe devant la cour d'assises d'Avignon en 2006, Eric Zago explique quel était son mobile.

Marc Maurice, un ancien gendarme de 49 ans, a tué l'ancien compagnon de sa fille, Cédric, qu'il soupçonnait d'attouchements sexuels sur Jade, sa petite-fille. Le 18 août 2003, Marc tend un guet-apens à Cédric, qui se rend au domicile de son ex-compagne pour y chercher la petite Jade, avec qui il doit partir en vacances. Atteint d'une balle dans le dos et de plusieurs coups de crosse à la tête, Cédric succombe à ses blessures. Trois ans plus tard, la justice a tenté de démêler le vrai du faux dans cette affaire familiale. Marc ne regrette absolument pas son geste. Son épouse Monique encore moins qui, depuis le début, a tout fait pour séparer Jade de son père. Marc estime qu'il a fait justice là où la justice a failli. Il a finalement été condamné à 25 ans de réclusion criminelle, un verdict dont il a fait appel.

Retour sur les faits divers qui émaillent le parcours de l'un des plus médiatiques producteurs de Los Angeles, Suge Knight. Ses démêlés avec la justice ont jeté le trouble sur la galaxie rap. Depuis les années 90, cet ancien footballeur professionnel reconverti dans la musique a géré ses affaires sans scrupules.

En 2013, la jeune Allison Benitez et sa mère disparaissent sans laisser de traces : les soupçons se portent sur le père, Francisco, qui s'est suicidé depuis.

Stéphane Audibert, un jeune homme de 24 ans, a été condamné à treize ans de réclusion criminelle en janvier 2006 pour avoir déclenché, dans le Var, un incendie volontaire au cours duquel plusieurs pompiers ont été grièvement blessés. L'accusé a toujours clamé son innocence. L'affaire rebondit juste après le premier procès : en effet, un inconnu a appelé les gendarmes, s'accusant lui-même du crime reproché à Audibert. Le procès en appel a eu lieu au mois de novembre 2006 à Aix-en-Provence. Les trois avocats du jeune homme ont plaidé l'acquittement. Retour sur cette affaire complexe qui, en son temps, avait fait couler beaucoup d'encre.

Durant l'après-midi du 8 novembre 2003, en plein centre-ville de Bordeaux, deux hommes s'affrontent violemment. Les pompiers arrivent sur place et tentent de venir en aide à Guy Legrand, un retraité de 67 ans. Il s'est gravement cogné la tête après une altercation qui l'opposait à un commerçant du quartier des Antiquaires. Evacué vers l'hôpital, Guy Legrand succombe à ses blessures. Ali Boubaker, son agresseur, reconnaît immédiatement les faits. Il est arrêté et incarcéré en attendant son procès, qui s'ouvre en décembre 2006. Pendant trois jours, jurés et magistrats tentent de faire toute la lumière sur cette affaire. A l'issue du procès, Ali Boubaker est condamné à une peine avec sursis.

Juillet 2003. Alexandre Lagardère se tue à l'âge de 25 ans dans un accident de voiture. L'enquête démontre qu'il s'est endormi au volant après avoir absorbé des somnifères. Un mois plus tard, un homme, Christophe Fauviau, est interpellé : il est soupçonné d'avoir drogué Alexandre en mettant un peu de sédatif dans sa bouteille d'eau pendant qu'il disputait un match de tennis contre son fils, Maxime. Rapidement, l'enquête met au jour une terrible vérité : Christophe Faviau avait l'habitude de droguer les adversaires de Maxime pendant les tournois. Vingt-sept cas similaires vont ainsi être recensés sur une période de trois ans. Cet ancien militaire a finalement été condamné à huit années d'emprisonnement.

La femme du dompteur de lions Grégory Allard accuse son mari de brutalité et de cruauté mentale..

Lacanau. Nuit du 14 juin 2003. Jean-Pierre Glauzy est réveillé par des bruits dans la salle de son bar. Il se lève, prend une arme et tire sur Jamel Saifi, un jeune homme de 19 ans. Les trois amis du garçon, restés dans la voiture, entendent, à quelques secondes d'intervalle, deux détonations. Puis ils voient Jamel s'écrouler dans la rue. Prenant peur, ils s'enfuient. Mis en examen pour homicide volontaire et détention d'armes et de munitions, Jean-Pierre Glauzy prétend qu'il n'a réalisé la gravité de son acte qu'en voyant le corps étendu sur la chaussée. Lors de son procès, au printemps 2007, devant la cour d'assises de Bordeaux, les jurés ont tenté de comprendre s'il avait tiré sur Jamel Saifi avec l'intention de le tuer.

Une femme clown accuse son mari, Monsieur Loyal, d'avoir une liaison avec la propriétaire du cirque..

Le 20 février 2007 s'ouvre à Quimper le procès d'Alban Novembre, qui comparaît devant la cour d'assises du Finistère pour le meurtre d'un certain Pierre Mevel. La victime, bénévole à la cathédrale de Quimper, préparait la messe lorsqu'elle a été sauvagement attaquée, dans l'après-midi du 20 juin 2004. Les trois jours d'audience doivent permettre de cerner la personnalité de l'accusé, à la santé mentale défaillante. S'agit-il d'un crime prémédité ou l'agresseur était-il totalement irresponsable au moment des faits ? A la barre, les experts sont unanimes : Alban Novembre souffre de schizophrénie. Le jury aura donc le choix entre une lourde condamnation et l'acquittement.

Marc Maurice, un ancien gendarme de 49 ans, a tué l'ancien compagnon de sa fille, Cédric, qu'il soupçonnait d'attouchements sexuels sur Jade, sa petite-fille. Le 18 août 2003, Marc tend un guet-apens à Cédric, qui se rend au domicile de son ex-compagne pour y chercher la petite Jade, avec qui il doit partir en vacances. Atteint d'une balle dans le dos et de plusieurs coups de crosse à la tête, Cédric succombe à ses blessures. Trois ans plus tard, la justice a tenté de démêler le vrai du faux dans cette affaire familiale. Marc ne regrette absolument pas son geste. Son épouse Monique encore moins qui, depuis le début, a tout fait pour séparer Jade de son père. Marc estime qu'il a fait justice là où la justice a failli. Il a finalement été condamné à 25 ans de réclusion criminelle, un verdict dont il a fait appel.

Le 5 septembre 2012, une voiture est retrouvée criblée de balles sur un parking de la Combe d'Ire, en Haute-Savoie. Un cycliste savoyard du nom de Sylvain Mollier, un touriste britannique du nom de Saad al-Hilli, ainsi que sa femme et sa belle-mère, ont été assassinés. Seules leurs deux fillettes ont survécu.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Un petit ami généreux intervient pour empêcher sa petite amie d'aller en prison. Des agents sauvent un chaton qui veut se cacher dans un endroit dangereux. Un homme affirme qu'il a conduit un camion volé pendant une journée, mais il s'est trompé de quelques mois.

Des suspects en fuite risquent leur vie en se cachant dans un dangereux marais. Pour un chauffeur, un camion en panne n'est que le début d'une longue liste de problèmes. Les adjoints sympathisent avec une femme qui a été mise à rude épreuve.

Une femme est sauvagement assassinée. Une piste mène la police à un réseau d'escort girl mais une preuve quasi-indétectable va permettre aux enquêteurs d'arrêter le vrai coupable. Un vol dans un restaurant tourne mal. Les enquêteurs ne disposent que de sang et d'une emprunte partielle : quelqu'un d'autre avait perdu du sang sur les lieux du crime.

Pierre Bellemare revient sur deux affaires qui ont causé bien des tourments à la police. La première concerne un homme, agressé chez lui et tué à coups de hache ; la seconde, une call-girl retrouvée morte sur le bas de la route..

Juillet 2010. Lorsqu'il rentre chez lui, Sylvain Dromard découvre le corps de sa femme. Mais qui pouvait bien en vouloir à Laurence Dromard.

Frédéric Bourdin, ancien imposteur en série français que la presse surnomma "Le Caméléon", affirme avoir endossé au moins 500 identités différentes, dont celle de Nicolas Barclay, un jeune garçon disparu en 1994. Bien que Bourdin ait les yeux bruns et un accent français, il a réussi à convaincre les autorités texanes ainsi que la famille qu'il était leur fils blond aux yeux bleus.

Christophe Rocancourt, un imposteur français, a escroqué des personnes riches et puissantes en se faisant passer pour un noble français, pour l'héritier de la famille Rockefeller, ou encore pour un prince russe. Ce n'est que lorsque sa femme américaine a alerté le FBI que Christophe Rocancourt a été arrêté et condamné à cinq ans de prison.

Durant la période troublée de la Libération et de l'Epuration, les attaques à main armée font des ravages. Pour endiguer le phénomène, la préfecture de Paris crée, en 1946, la brigade des agressions, rattachée à la brigade criminelle. Le Milieu, déjà peu structuré, est complètement éclaté, désorganisé. Les truands qui ont viré collabos n'ont plus grand-chose à perdre et les jeunes issus de la guerre n'ont pas les scrupules des anciens. Sans compter que les armes pullulent. La voiture complète la panoplie du gangster.

Les années 1970 marquent une nouvelle étape dans l'histoire du Milieu. C'est une époque charnière entre deux mondes. La vieille génération du mitan s'éteint doucement. Les hommes les plus anciens ont fait leurs classes durant les décennies 1930, 1940 et 1950. A la fin des années 1960 arrivent sur le marché les enfants de la guerre, qui ont grandi avec d'autres valeurs. La société a changé, la pègre également. Le Milieu n'est pas mort pour autant : il évolue une fois de plus. La came et son euphorie ont laissé une mauvaise ambiance. La descente est dure. Face aux peines encourues, les magouilleurs de tous poils, mêlés aux voyous traditionnels, ont balancé leurs complices. La mentalité en a pris un coup. Tout le monde se méfie de tout le monde.

Une femme est sauvagement assassinée. Une piste mène la police à un réseau d'escort girl mais une preuve quasi-indétectable va permettre aux enquêteurs d'arrêter le vrai coupable. Un vol dans un restaurant tourne mal. Les enquêteurs ne disposent que de sang et d'une emprunte partielle : quelqu'un d'autre avait perdu du sang sur les lieux du crime.

Lacanau. Nuit du 14 juin 2003. Jean-Pierre Glauzy est réveillé par des bruits dans la salle de son bar. Il se lève, prend une arme et tire sur Jamel Saifi, un jeune homme de 19 ans. Les trois amis du garçon, restés dans la voiture, entendent, à quelques secondes d'intervalle, deux détonations. Puis ils voient Jamel s'écrouler dans la rue. Prenant peur, ils s'enfuient. Mis en examen pour homicide volontaire et détention d'armes et de munitions, Jean-Pierre Glauzy prétend qu'il n'a réalisé la gravité de son acte qu'en voyant le corps étendu sur la chaussée. Lors de son procès, au printemps 2007, devant la cour d'assises de Bordeaux, les jurés ont tenté de comprendre s'il avait tiré sur Jamel Saifi avec l'intention de le tuer.

Marc Maurice, un ancien gendarme de 49 ans, a tué l'ancien compagnon de sa fille, Cédric, qu'il soupçonnait d'attouchements sexuels sur Jade, sa petite-fille. Le 18 août 2003, Marc tend un guet-apens à Cédric, qui se rend au domicile de son ex-compagne pour y chercher la petite Jade, avec qui il doit partir en vacances. Atteint d'une balle dans le dos et de plusieurs coups de crosse à la tête, Cédric succombe à ses blessures. Trois ans plus tard, la justice a tenté de démêler le vrai du faux dans cette affaire familiale. Marc ne regrette absolument pas son geste. Son épouse Monique encore moins qui, depuis le début, a tout fait pour séparer Jade de son père. Marc estime qu'il a fait justice là où la justice a failli. Il a finalement été condamné à 25 ans de réclusion criminelle, un verdict dont il a fait appel.

Rosa Pommier est professeur de danse. Elle demande le divorce car elle ne supporte plus que Lucien, son mari fasse des dépenses inconsidérées.

Marie Laurier est à la tête d'une grande société de parfumerie. Elle prétend que son mari et associé est homosexuel..

En 2013, la jeune Allison Benitez et sa mère disparaissent sans laisser de traces : les soupçons se portent sur le père, Francisco, qui s'est suicidé depuis.

En 2005, le corps d'Audrey, une jeune femme de 24 ans, est découvert sous un lit dans l'appartement de sa mère. L'autopsie révèle que la jeune femme a été violée.

Durant l'après-midi du 8 novembre 2003, en plein centre-ville de Bordeaux, deux hommes s'affrontent violemment. Les pompiers arrivent sur place et tentent de venir en aide à Guy Legrand, un retraité de 67 ans. Il s'est gravement cogné la tête après une altercation qui l'opposait à un commerçant du quartier des Antiquaires. Evacué vers l'hôpital, Guy Legrand succombe à ses blessures. Ali Boubaker, son agresseur, reconnaît immédiatement les faits. Il est arrêté et incarcéré en attendant son procès, qui s'ouvre en décembre 2006. Pendant trois jours, jurés et magistrats tentent de faire toute la lumière sur cette affaire. A l'issue du procès, Ali Boubaker est condamné à une peine avec sursis.

La femme du dompteur de lions Grégory Allard accuse son mari de brutalité et de cruauté mentale..

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Une femme clown accuse son mari, Monsieur Loyal, d'avoir une liaison avec la propriétaire du cirque..

Le propriétaire d'une animalerie accuse sa femme d'avoir transformé leur appartement en véritable zoo..

Retour sur les faits divers qui émaillent le parcours de l'un des plus médiatiques producteurs de Los Angeles, Suge Knight. Ses démêlés avec la justice ont jeté le trouble sur la galaxie rap. Depuis les années 90, cet ancien footballeur professionnel reconverti dans la musique a géré ses affaires sans scrupules.

Le 8 février 2001, le corps de Priscilla, 14 ans, est découvert près de la ferme de ses parents. Son corps est lacéré de cinquante coups de couteaux. Les gendarmes passent au crible la scène du crime. Ils découvrent le masque noir et blanc du film Scream.

Vendredi 14 juillet 1995, Sarcelles, en région parisienne. Il est 21 h quand la police est appelée à se rendre impasse des Meuniers, où le cadavre d'un homme de 42 ans, Jean-Bernard Wiktorska, vient d'être découvert par sa femme. La veuve y est-elle pour quelque chose ? Un retour circonstancié sur les différents éléments de cette affaire permet d'en mieux saisir les contours.

Durant la période troublée de la Libération et de l'Epuration, les attaques à main armée font des ravages. Pour endiguer le phénomène, la préfecture de Paris crée, en 1946, la brigade des agressions, rattachée à la brigade criminelle. Le Milieu, déjà peu structuré, est complètement éclaté, désorganisé. Les truands qui ont viré collabos n'ont plus grand-chose à perdre et les jeunes issus de la guerre n'ont pas les scrupules des anciens. Sans compter que les armes pullulent. La voiture complète la panoplie du gangster.

Willy Van Coppernolle, un Belge de 79 ans, a été condamné à une trentaine de reprises dans le pays pour "attentat à la pudeur" et "rapt de mineur".

Les années 1970 marquent une nouvelle étape dans l'histoire du Milieu. C'est une époque charnière entre deux mondes. La vieille génération du mitan s'éteint doucement. Les hommes les plus anciens ont fait leurs classes durant les décennies 1930, 1940 et 1950. A la fin des années 1960 arrivent sur le marché les enfants de la guerre, qui ont grandi avec d'autres valeurs. La société a changé, la pègre également. Le Milieu n'est pas mort pour autant : il évolue une fois de plus. La came et son euphorie ont laissé une mauvaise ambiance. La descente est dure. Face aux peines encourues, les magouilleurs de tous poils, mêlés aux voyous traditionnels, ont balancé leurs complices. La mentalité en a pris un coup. Tout le monde se méfie de tout le monde.

En décembre 2008, Stéphane Kameugne, 24 ans, étudiant à l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons-en-Champagne, disparaît après la soirée de gala annuelle de remise des diplômes. Il est retrouvé noyé le 24 décembre. Une information est ouverte pour homicide volontaire, mais le crime n'a jamais été élucidé.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Une femme demande à la police d'intervenir après que son ex a menacé de détruire sa maison. Une femme trouve un moyen dangereux de soulager sa douleur.

Un caporal donne quelques conseils à un jeune homme qui vient d'acheter une moto. L'impatience d'une femme la met dans le pétrin lorsqu'elle est arrêtée.

Une femme tente de piéger son amie sous les yeux des policiers. Un homme en possession d'un camion volé insiste sur le fait que c'est son ami qui est en tort.

Un enfant est le seul témoin d'un crime violent. Un homme, correspondant à la description qu'il a faite du coupable, se livre à la police. Mais les preuves matérielles n'indiquent pas qu'il est le meurtrier. Des vacances de rêve tournent au cauchemar lorsqu'un cadavre est retrouvé en bord de mer.

Des suspects en fuite risquent leur vie en se cachant dans un dangereux marais. Pour un chauffeur, un camion en panne n'est que le début d'une longue liste de problèmes. Les adjoints sympathisent avec une femme qui a été mise à rude épreuve.

Une explosion a eu lieu dans une église et les deux adolescents suspectés s'accusent mutuellement. Un simple jeu pourrait-il être à l'origine de ce désastre ? Une mort inexpliquée intrigue tous scientifiques. Rien d'anormal ne semble avoir provoqué ce décès... Les médecins légistes parviendront-ils à lever le voile sur ce mystère.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Le 18 avril 2006, à Castillon-la-Bataille, un homme prévient la gendarmerie que son amie, Suzanne Fragues, est probablement morte et qu'une forte odeur de gaz règne chez elle. Sur les lieux, les enquêteurs découvrent un cadavre qui a été l'objet d'une spectaculaire mise en scène. Face à l'ampleur du travail, les gendarmes font appel à des techniciens en identification criminelle. Les experts en traces et empreintes entrent en scène pour fixer la marque laissée dans une flaque de sang par une semelle de basket. Une fois les premières constatations effectuées et aucune piste ne se dégageant, les gendarmes font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ils ont besoin de leur aide, notamment pour analyser les mots qui ont été tracés sur le dos de la victime.

Juillet 2010. Lorsqu'il rentre chez lui, Sylvain Dromard découvre le corps de sa femme. Mais qui pouvait bien en vouloir à Laurence Dromard.

Le 9 octobre 2001, après dîner, Pierre et Gabrielle Labrell sont pris de maux de ventre. Transportés à l'hôpital, ils meurent peu après. Ils ont été empoisonnés à l'arsenic.

La Première Guerre mondiale va révolutionner la pègre, en la faisant basculer définitivement, à l'image de la société, dans la modernité. Les terreurs à casquette ont disparu dans la tourmente. Les trafiquants, minoritaires à la Belle Epoque, deviennent le modèle du Milieu. Pendant la première décennie, une nouvelle pègre se profile, qui s'installera définitivement dans les années 30. Ce "milieu", composé de voyous trop jeunes pour avoir connu la guerre, et d'autres, plus vieux, passés au travers, s'adapte à son temps. Le travail à la dure disparaît, laissant place aux trafics de toutes sortes : drogue, armes et, de plus en plus, êtres humains.

Les douaniers découvrent un trafic de drogue, puis ouvrent une boîte de pandore lorsqu'ils commencent à fouiller dans les bagages d'un guérisseur spirituel.

Durant les années 1930, le milieu s'est modernisé, s'adaptant à de nouvelles activités. Si le braquage est en vogue, le trafic en tout genre ainsi que le racket ont pris une place prépondérante. Des spécialités qui vont connaître des sommets pendant la Seconde Guerre mondiale. Les années d'Occupation vont être parmi les plus "belles" de la pègre, propices à toutes les combines. Qu'ils aient préféré le camp des occupants, celui de la Résistance, les deux ou même aucun, nombre de voyous vont toucher le gros lot. Les liens avec le monde politique, notamment développés avant-guerre à Marseille, vont apparaître au grand jour.

À l'aéroport d'Auckland, le personnel surprend une femme en train de transporter des objets hautement illégaux. Ils l'arrêtent aussitôt, mais elle joue les innocentes.

Des objets rares en provenance du Canada sont sous les feux de la rampe. Deux voyageurs tentent de tromper le personnel de l'immigration. Mais ces derniers ont de l'expérience.

Au mois d'avril 2003, la police est avertie de la disparition inquiétante depuis une semaine de toute une famille du Grand-Bornand. La piste de l'accident, d'abord privilégiée par les enquêteurs, ne débouchant sur rien, les techniciens en identification criminelle investissent le chalet de la famille Flactif. Les premiers éléments qu'ils recueillent font présager le pire. Le chalet étant très vaste et l'enquête délicate, les enquêteurs font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). La fixation de la scène de crime est la première priorité de ces spécialistes.

Les douaniers contrôlent un visiteur brésilien dont les bagages sont essentiellement constitués d'outils lourds, ainsi que des auto-stoppeurs indésirables.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Le 23 octobre 2015, sur la commune de Puisseguin, en Gironde, un autocar percute un camion sur une petite route. Immédiatement, les deux véhicules s'embrasent. Dans l'heure qui suit, les équipes de l'Institut de recherche criminelle sont mobilisées. Comme pour le crash de la Germanwings, l'identification des victimes est un enjeu capital. Cette identification est rendue difficile par l'état des corps qui sont carbonisés. Un expert en accidentologie et un autre du groupe incendie sont du voyage. Leur rôle sera d'analyser la collision et de rechercher les causes de l'embrasement très rapide des deux véhicules.

Un petit ami généreux intervient pour empêcher sa petite amie d'aller en prison. Des agents sauvent un chaton qui veut se cacher dans un endroit dangereux. Un homme affirme qu'il a conduit un camion volé pendant une journée, mais il s'est trompé de quelques mois.

Un jeune couple passe trop de temps à se disputer au lieu de prêter attention à la route. Un conducteur bavard accumule une série d'accusations devant sa propre maison.

Le 5 septembre 2012, une voiture est retrouvée criblée de balles sur un parking de la Combe d'Ire, en Haute-Savoie. Un cycliste savoyard du nom de Sylvain Mollier, un touriste britannique du nom de Saad al-Hilli, ainsi que sa femme et sa belle-mère, ont été assassinés. Seules leurs deux fillettes ont survécu.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

Il gagnait beaucoup d'argent et aimait faire étalage de sa réussite. Mais il aimait aussi jouer et avait des dettes et des soucis avec le fisc. Lorsqu'il se fait tuer, ses deux ex-femmes et sa petite amie sont suspectées. Un club de plaisance très fermé se retrouve avec un cadavre sur les bras. Une femme a été poignardée puis jeté à l'eau. L'ex-mari de la victime et leur fille sont introuvables.

Au sommaire : Une jeune femme disparaît alors que sa voiture était tombée en panne. Les témoignages des deux personnes ayant surpris la scène ne semblent pas s'accorder. - Un cambriolage tourne mal.

Le 9 octobre 2001, après dîner, Pierre et Gabrielle Labrell sont pris de maux de ventre. Transportés à l'hôpital, ils meurent peu après. Ils ont été empoisonnés à l'arsenic.

Le 18 avril 2006, à Castillon-la-Bataille, un homme prévient la gendarmerie que son amie, Suzanne Fragues, est probablement morte et qu'une forte odeur de gaz règne chez elle. Sur les lieux, les enquêteurs découvrent un cadavre qui a été l'objet d'une spectaculaire mise en scène. Face à l'ampleur du travail, les gendarmes font appel à des techniciens en identification criminelle. Les experts en traces et empreintes entrent en scène pour fixer la marque laissée dans une flaque de sang par une semelle de basket. Une fois les premières constatations effectuées et aucune piste ne se dégageant, les gendarmes font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ils ont besoin de leur aide, notamment pour analyser les mots qui ont été tracés sur le dos de la victime.

Terri Harris, une mère dévouée, voit sa vie basculer après avoir rencontré un homme en ligne, ignorant qu'il deviendrait l'auteur d'une effroyable série de meurtres. L'histoire explore comment ce psychopathe a bouleversé son existence.

1992 à Waco au Texas : Parnell McNamara, Mike McNamara et Bill Johnston, enquêtent sur la disparition de Melissa Northrup, 22 ans, enceinte et mère de deux enfants. Elle s'est volatilisée pendant son service sur un tronçon isolé de l'autoroute 35. Kenneth Allen McDuff, tueur en série et ancien condamné à mort est le suspect numéro 1.

Le 22 juillet 2001, un témoin prévient la police d'un accident entre un vélo et une voiture. Une fois sur place, la patrouille constate que la jeune fille propriétaire du vélo, Karine Schaaff, a disparu. Les techniciens en investigations criminelles commencent les relevés sur place. Le département véhicule de l'IRCGN est saisi et vient sur place tenter d'élucider les circonstances de la collision. A partir de débris de verre provenant d'un phare de voiture, les experts tentent d'identifier le véhicule impliqué. L'identification de traces d'un produit lacrymogène ne laisse que peu d'espoir quant au sort réservé à Karine Schaaff, probablement enlevée.

En décembre 2008, Stéphane Kameugne, 24 ans, étudiant à l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons-en-Champagne, disparaît après la soirée de gala annuelle de remise des diplômes. Il est retrouvé noyé le 24 décembre. Une information est ouverte pour homicide volontaire, mais le crime n'a jamais été élucidé.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Un petit ami généreux intervient pour empêcher sa petite amie d'aller en prison. Des agents sauvent un chaton qui veut se cacher dans un endroit dangereux. Un homme affirme qu'il a conduit un camion volé pendant une journée, mais il s'est trompé de quelques mois.

Un jeune couple passe trop de temps à se disputer au lieu de prêter attention à la route. Un conducteur bavard accumule une série d'accusations devant sa propre maison.

Un chirurgien respecté est agressé en quittant son cabinet. Le mobile révèle qu'il avait un ennemi, mais la police pourra-t-elle relier le suspect à l'homicide ? Une fillette assiste au meurtre de sa mère, mais l'enquête piétine pendant une dizaine d'années. Un suspect relate une version des faits invraisemblable.

Il gagnait beaucoup d'argent et aimait faire étalage de sa réussite. Mais il aimait aussi jouer et avait des dettes et des soucis avec le fisc. Lorsqu'il se fait tuer, ses deux ex-femmes et sa petite amie sont suspectées. Un club de plaisance très fermé se retrouve avec un cadavre sur les bras. Une femme a été poignardée puis jeté à l'eau. L'ex-mari de la victime et leur fille sont introuvables.

Une femme clown accuse son mari, Monsieur Loyal, d'avoir une liaison avec la propriétaire du cirque..

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Le propriétaire d'une animalerie accuse sa femme d'avoir transformé leur appartement en véritable zoo..

Laurène Guérin demande le divorce, car elle affirme que son mari, auteur de romans de science fiction, est devenu fou. Il assure avoir été capturé par des extraterrestres.

Lacanau. Nuit du 14 juin 2003. Jean-Pierre Glauzy est réveillé par des bruits dans la salle de son bar. Il se lève, prend une arme et tire sur Jamel Saifi, un jeune homme de 19 ans. Les trois amis du garçon, restés dans la voiture, entendent, à quelques secondes d'intervalle, deux détonations. Puis ils voient Jamel s'écrouler dans la rue. Prenant peur, ils s'enfuient. Mis en examen pour homicide volontaire et détention d'armes et de munitions, Jean-Pierre Glauzy prétend qu'il n'a réalisé la gravité de son acte qu'en voyant le corps étendu sur la chaussée. Lors de son procès, au printemps 2007, devant la cour d'assises de Bordeaux, les jurés ont tenté de comprendre s'il avait tiré sur Jamel Saifi avec l'intention de le tuer.

Rosa Pommier est professeur de danse. Elle demande le divorce car elle ne supporte plus que Lucien, son mari fasse des dépenses inconsidérées.

Marie Laurier est à la tête d'une grande société de parfumerie. Elle prétend que son mari et associé est homosexuel..

En 2005, le corps d'Audrey, une jeune femme de 24 ans, est découvert sous un lit dans l'appartement de sa mère. L'autopsie révèle que la jeune femme a été violée.

En 2005, le corps d'Audrey, une jeune femme de 24 ans, est découvert sous un lit dans l'appartement de sa mère. L'autopsie révèle que la jeune femme a été violée.

Retour sur les faits divers qui émaillent le parcours de l'un des plus médiatiques producteurs de Los Angeles, Suge Knight. Ses démêlés avec la justice ont jeté le trouble sur la galaxie rap. Depuis les années 90, cet ancien footballeur professionnel reconverti dans la musique a géré ses affaires sans scrupules.

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Le 8 février 2001, le corps de Priscilla, 14 ans, est découvert près de la ferme de ses parents. Son corps est lacéré de cinquante coups de couteaux. Les gendarmes passent au crible la scène du crime. Ils découvrent le masque noir et blanc du film Scream.

Durant la période troublée de la Libération et de l'Epuration, les attaques à main armée font des ravages. Pour endiguer le phénomène, la préfecture de Paris crée, en 1946, la brigade des agressions, rattachée à la brigade criminelle. Le Milieu, déjà peu structuré, est complètement éclaté, désorganisé. Les truands qui ont viré collabos n'ont plus grand-chose à perdre et les jeunes issus de la guerre n'ont pas les scrupules des anciens. Sans compter que les armes pullulent. La voiture complète la panoplie du gangster.

Les années 1970 marquent une nouvelle étape dans l'histoire du Milieu. C'est une époque charnière entre deux mondes. La vieille génération du mitan s'éteint doucement. Les hommes les plus anciens ont fait leurs classes durant les décennies 1930, 1940 et 1950. A la fin des années 1960 arrivent sur le marché les enfants de la guerre, qui ont grandi avec d'autres valeurs. La société a changé, la pègre également. Le Milieu n'est pas mort pour autant : il évolue une fois de plus. La came et son euphorie ont laissé une mauvaise ambiance. La descente est dure. Face aux peines encourues, les magouilleurs de tous poils, mêlés aux voyous traditionnels, ont balancé leurs complices. La mentalité en a pris un coup. Tout le monde se méfie de tout le monde.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Une femme demande à la police d'intervenir après que son ex a menacé de détruire sa maison. Une femme trouve un moyen dangereux de soulager sa douleur.

Un caporal donne quelques conseils à un jeune homme qui vient d'acheter une moto. L'impatience d'une femme la met dans le pétrin lorsqu'elle est arrêtée.

Une femme tente de piéger son amie sous les yeux des policiers. Un homme en possession d'un camion volé insiste sur le fait que c'est son ami qui est en tort.

Des suspects en fuite risquent leur vie en se cachant dans un dangereux marais. Pour un chauffeur, un camion en panne n'est que le début d'une longue liste de problèmes. Les adjoints sympathisent avec une femme qui a été mise à rude épreuve.

Une explosion a eu lieu dans une église et les deux adolescents suspectés s'accusent mutuellement. Un simple jeu pourrait-il être à l'origine de ce désastre ? Une mort inexpliquée intrigue tous scientifiques. Rien d'anormal ne semble avoir provoqué ce décès... Les médecins légistes parviendront-ils à lever le voile sur ce mystère.

Le 18 avril 2006, à Castillon-la-Bataille, un homme prévient la gendarmerie que son amie, Suzanne Fragues, est probablement morte et qu'une forte odeur de gaz règne chez elle. Sur les lieux, les enquêteurs découvrent un cadavre qui a été l'objet d'une spectaculaire mise en scène. Face à l'ampleur du travail, les gendarmes font appel à des techniciens en identification criminelle. Les experts en traces et empreintes entrent en scène pour fixer la marque laissée dans une flaque de sang par une semelle de basket. Une fois les premières constatations effectuées et aucune piste ne se dégageant, les gendarmes font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ils ont besoin de leur aide, notamment pour analyser les mots qui ont été tracés sur le dos de la victime.

Le 9 octobre 2001, après dîner, Pierre et Gabrielle Labrell sont pris de maux de ventre. Transportés à l'hôpital, ils meurent peu après. Ils ont été empoisonnés à l'arsenic.

Les douaniers découvrent un trafic de drogue, puis ouvrent une boîte de pandore lorsqu'ils commencent à fouiller dans les bagages d'un guérisseur spirituel.

À l'aéroport d'Auckland, le personnel surprend une femme en train de transporter des objets hautement illégaux. Ils l'arrêtent aussitôt, mais elle joue les innocentes.

Des objets rares en provenance du Canada sont sous les feux de la rampe. Deux voyageurs tentent de tromper le personnel de l'immigration. Mais ces derniers ont de l'expérience.

Les douaniers contrôlent un visiteur brésilien dont les bagages sont essentiellement constitués d'outils lourds, ainsi que des auto-stoppeurs indésirables.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Un petit ami généreux intervient pour empêcher sa petite amie d'aller en prison. Des agents sauvent un chaton qui veut se cacher dans un endroit dangereux. Un homme affirme qu'il a conduit un camion volé pendant une journée, mais il s'est trompé de quelques mois.

Un jeune couple passe trop de temps à se disputer au lieu de prêter attention à la route. Un conducteur bavard accumule une série d'accusations devant sa propre maison.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

Un chirurgien respecté est agressé en quittant son cabinet. Le mobile révèle qu'il avait un ennemi, mais la police pourra-t-elle relier le suspect à l'homicide ? Une fillette assiste au meurtre de sa mère, mais l'enquête piétine pendant une dizaine d'années. Un suspect relate une version des faits invraisemblable.

Un enfant est le seul témoin d'un crime violent. Un homme, correspondant à la description qu'il a faite du coupable, se livre à la police. Mais les preuves matérielles n'indiquent pas qu'il est le meurtrier. Des vacances de rêve tournent au cauchemar lorsqu'un cadavre est retrouvé en bord de mer.

Le 2 juin 2005, Nelly Crémel, 39 ans, part de chez elle pour faire son jogging. Elle n'en reviendra jamais. Huit jours plus tard, son cadavre est retrouvé. Le meurtre ne fait aucun doute. Aussitôt, l'affaire secoue l'opinion publique. Les indices vont amener les enquêteurs sur de nombreuses pistes, depuis les coulisses des services secrets français jusqu'à la traque d'un éventuel maniaque sexuel.

Terri Harris, une mère dévouée, voit sa vie basculer après avoir rencontré un homme en ligne, ignorant qu'il deviendrait l'auteur d'une effroyable série de meurtres. L'histoire explore comment ce psychopathe a bouleversé son existence.

1992 à Waco au Texas : Parnell McNamara, Mike McNamara et Bill Johnston, enquêtent sur la disparition de Melissa Northrup, 22 ans, enceinte et mère de deux enfants. Elle s'est volatilisée pendant son service sur un tronçon isolé de l'autoroute 35. Kenneth Allen McDuff, tueur en série et ancien condamné à mort est le suspect numéro 1.

En décembre 2008, Stéphane Kameugne, 24 ans, étudiant à l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons-en-Champagne, disparaît après la soirée de gala annuelle de remise des diplômes. Il est retrouvé noyé le 24 décembre. Une information est ouverte pour homicide volontaire, mais le crime n'a jamais été élucidé.

Un chirurgien respecté est agressé en quittant son cabinet. Le mobile révèle qu'il avait un ennemi, mais la police pourra-t-elle relier le suspect à l'homicide ? Une fillette assiste au meurtre de sa mère, mais l'enquête piétine pendant une dizaine d'années. Un suspect relate une version des faits invraisemblable.

Ancien déporté pour faits de résistance, le docteur Georges Fully, inspecteur général de l'Administration pénitentiaire, a été assassiné en juin 1973.

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Stéphane Audibert, un jeune homme de 24 ans, a été condamné à treize ans de réclusion criminelle en janvier 2006 pour avoir déclenché, dans le Var, un incendie volontaire au cours duquel plusieurs pompiers ont été grièvement blessés. L'accusé a toujours clamé son innocence. L'affaire rebondit juste après le premier procès : en effet, un inconnu a appelé les gendarmes, s'accusant lui-même du crime reproché à Audibert. Le procès en appel a eu lieu au mois de novembre 2006 à Aix-en-Provence. Les trois avocats du jeune homme ont plaidé l'acquittement. Retour sur cette affaire complexe qui, en son temps, avait fait couler beaucoup d'encre.

Le 9 octobre 2001, les médecins urgentistes sont appelés par un couple de retraités. Ces derniers développent exactement les mêmes symptômes ; ils sont pris de violents vomissements. Les médecins ne comprennent pas.

Lacanau. Nuit du 14 juin 2003. Jean-Pierre Glauzy est réveillé par des bruits dans la salle de son bar. Il se lève, prend une arme et tire sur Jamel Saifi, un jeune homme de 19 ans. Les trois amis du garçon, restés dans la voiture, entendent, à quelques secondes d'intervalle, deux détonations. Puis ils voient Jamel s'écrouler dans la rue. Prenant peur, ils s'enfuient. Mis en examen pour homicide volontaire et détention d'armes et de munitions, Jean-Pierre Glauzy prétend qu'il n'a réalisé la gravité de son acte qu'en voyant le corps étendu sur la chaussée. Lors de son procès, au printemps 2007, devant la cour d'assises de Bordeaux, les jurés ont tenté de comprendre s'il avait tiré sur Jamel Saifi avec l'intention de le tuer.

En 2005, le corps d'Audrey, une jeune femme de 24 ans, est découvert sous un lit dans l'appartement de sa mère. L'autopsie révèle que la jeune femme a été violée.

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Retour sur les faits divers qui émaillent le parcours de l'un des plus médiatiques producteurs de Los Angeles, Suge Knight. Ses démêlés avec la justice ont jeté le trouble sur la galaxie rap. Depuis les années 90, cet ancien footballeur professionnel reconverti dans la musique a géré ses affaires sans scrupules.

Le 8 février 2001, le corps de Priscilla, 14 ans, est découvert près de la ferme de ses parents. Son corps est lacéré de cinquante coups de couteaux. Les gendarmes passent au crible la scène du crime. Ils découvrent le masque noir et blanc du film Scream.

Ancien déporté pour faits de résistance, le docteur Georges Fully, inspecteur général de l'Administration pénitentiaire, a été assassiné en juin 1973.

Stéphane Audibert, un jeune homme de 24 ans, a été condamné à treize ans de réclusion criminelle en janvier 2006 pour avoir déclenché, dans le Var, un incendie volontaire au cours duquel plusieurs pompiers ont été grièvement blessés. L'accusé a toujours clamé son innocence. L'affaire rebondit juste après le premier procès : en effet, un inconnu a appelé les gendarmes, s'accusant lui-même du crime reproché à Audibert. Le procès en appel a eu lieu au mois de novembre 2006 à Aix-en-Provence. Les trois avocats du jeune homme ont plaidé l'acquittement. Retour sur cette affaire complexe qui, en son temps, avait fait couler beaucoup d'encre.

Durant l'après-midi du 8 novembre 2003, en plein centre-ville de Bordeaux, deux hommes s'affrontent violemment. Les pompiers arrivent sur place et tentent de venir en aide à Guy Legrand, un retraité de 67 ans. Il s'est gravement cogné la tête après une altercation qui l'opposait à un commerçant du quartier des Antiquaires. Evacué vers l'hôpital, Guy Legrand succombe à ses blessures. Ali Boubaker, son agresseur, reconnaît immédiatement les faits. Il est arrêté et incarcéré en attendant son procès, qui s'ouvre en décembre 2006. Pendant trois jours, jurés et magistrats tentent de faire toute la lumière sur cette affaire. A l'issue du procès, Ali Boubaker est condamné à une peine avec sursis.

Le 11 janvier 1986, les pompiers découvrent le cadavre de Marie-Madeleine Révillon, une vieille dame de 84 ans qui a été torturée avant sa mort.

En 2013, la jeune Allison Benitez et sa mère disparaissent sans laisser de traces : les soupçons se portent sur le père, Francisco, qui s'est suicidé depuis.

Un chirurgien respecté est agressé en quittant son cabinet. Le mobile révèle qu'il avait un ennemi, mais la police pourra-t-elle relier le suspect à l'homicide ? Une fillette assiste au meurtre de sa mère, mais l'enquête piétine pendant une dizaine d'années. Un suspect relate une version des faits invraisemblable.

Les douaniers découvrent un trafic de drogue, puis ouvrent une boîte de pandore lorsqu'ils commencent à fouiller dans les bagages d'un guérisseur spirituel.

À l'aéroport d'Auckland, le personnel surprend une femme en train de transporter des objets hautement illégaux. Ils l'arrêtent aussitôt, mais elle joue les innocentes.

Le 24 mars 2015, dans les Alpes, un A320 de la compagnie allemande Germanwings s'écrase en pleine montagne. L'avion qui reliait Barcelone à Düsseldorf transportait 150 personnes. L'identification des corps constitue une étape capitale pour être sûr de rendre les bons corps aux familles. En cas de telle catastrophe, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) doit pouvoir répondre rapidement aux interrogations des proches des victimes. L'autre axe de recherche prioritaire pour les scientifiques de la gendarmerie et ceux du Bureau d'enquêtes et d'analyses est bien sûr l'élucidation des causes de l'accident.

Des objets rares en provenance du Canada sont sous les feux de la rampe. Deux voyageurs tentent de tromper le personnel de l'immigration. Mais ces derniers ont de l'expérience.

Les douaniers contrôlent un visiteur brésilien dont les bagages sont essentiellement constitués d'outils lourds, ainsi que des auto-stoppeurs indésirables.

Le 11 janvier 2002, dans la Somme, la gendarmerie est appelée pour un accident de la circulation. Quand ils s'aperçoivent que la conductrice a disparu, les gendarmes comprennent qu'ils ont affaire à quelque chose de bien plus grave. La voiture d'Elodie Kulik est le point de départ des premières investigations. Les experts de la gendarmerie doivent d'abord comprendre ce qui est arrivé au véhicule. Le 12 janvier, le corps calciné de la jeune femme est retrouvé dans la campagne. Un autre axe d'enquête s'ouvre alors, les enquêteurs scientifiques espérant trouver des traces ADN. Ce n'est que vingt ans plus tard que l'ADN trouvé sur la scène de crime permettra d'identifier l'un des auteurs du viol et du meurtre d'Elodie Kulik.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

En février 2014, Marie Varnerot, 17 ans, est retrouvée morte dans son appartement à Maincy, en Seine-et-Marne. L'adolescente a été droguée, puis étouffée. Anita, sa maman, met les policiers sur piste : une histoire de chantage dont sa fille aurait été victime. Pourtant, les enquêteurs vont découvrir que la vérité est à la fois plus simple, mais aussi beaucoup plus tragique qu'ils ne l'imaginaient.

Un meurtre laisse la police perplexe. Avec très peu d'indices et aucun mobile apparent, celle-ci ne sait vers quelle piste se tourner. Un corps calciné est retrouvé près d'un chantier. Quelle est l'identité de la victime.

En mai 1995 dans le Rhône, Vincent, son épouse Odette, et deux de leurs trois enfants ont été assassinés. Samantha, l'unique rescapée, est suspectée.

Le 22 juillet 2001, un témoin prévient la police d'un accident entre un vélo et une voiture. Une fois sur place, la patrouille constate que la jeune fille propriétaire du vélo, Karine Schaaff, a disparu. Les techniciens en investigations criminelles commencent les relevés sur place. Le département véhicule de l'IRCGN est saisi et vient sur place tenter d'élucider les circonstances de la collision. A partir de débris de verre provenant d'un phare de voiture, les experts tentent d'identifier le véhicule impliqué. L'identification de traces d'un produit lacrymogène ne laisse que peu d'espoir quant au sort réservé à Karine Schaaff, probablement enlevée.

Un homme a du mal à plaider sa cause lorsqu'un sac d'objets illicites porte son nom. Un conducteur bavard raconte aux agents une longue histoire aux détails contradictoires. Un couple appelle à l'aide lorsqu'il trouve un alligator dans son jardin.

Des agents sont stupéfaits lorsqu'un homme tente de les convaincre de l'emmener en prison. Des étincelles jaillissent lorsqu'un conducteur essaie de faire rouler son camion sur l'autoroute avec seulement deux roues. Les adjoints sont sur leurs gardes lorsqu'ils s'approchent d'un homme belliqueux.

Un petit ami généreux intervient pour empêcher sa petite amie d'aller en prison. Des agents sauvent un chaton qui veut se cacher dans un endroit dangereux. Un homme affirme qu'il a conduit un camion volé pendant une journée, mais il s'est trompé de quelques mois.

Le 2 juin 2005, Nelly Crémel, 39 ans, part de chez elle pour faire son jogging. Elle n'en reviendra jamais. Huit jours plus tard, son cadavre est retrouvé. Le meurtre ne fait aucun doute. Aussitôt, l'affaire secoue l'opinion publique. Les indices vont amener les enquêteurs sur de nombreuses pistes, depuis les coulisses des services secrets français jusqu'à la traque d'un éventuel maniaque sexuel.

Un jeune couple passe trop de temps à se disputer au lieu de prêter attention à la route. Un conducteur bavard accumule une série d'accusations devant sa propre maison.

Son premier meurtre, Claude Lastennet l'a commis à 23 ans, presque par hasard. Il tentait de cambrioler une vieille dame. Elle a résisté. Il l'a tuée. Et il y a pris goût. Dans les cinq mois qui ont suivi, il a récidivé cinq fois, tuant quatre de ses cinq victimes. Il a été condamné à perpétuité en 1997.

Le 5 septembre 2012, une voiture est retrouvée criblée de balles sur un parking de la Combe d'Ire, en Haute-Savoie. Un cycliste savoyard du nom de Sylvain Mollier, un touriste britannique du nom de Saad al-Hilli, ainsi que sa femme et sa belle-mère, ont été assassinés. Seules leurs deux fillettes ont survécu.

Terri Harris, une mère dévouée, voit sa vie basculer après avoir rencontré un homme en ligne, ignorant qu'il deviendrait l'auteur d'une effroyable série de meurtres. L'histoire explore comment ce psychopathe a bouleversé son existence.

Vendredi 14 juillet 1995, Sarcelles, en région parisienne. Il est 21 h quand la police est appelée à se rendre impasse des Meuniers, où le cadavre d'un homme de 42 ans, Jean-Bernard Wiktorska, vient d'être découvert par sa femme. La veuve y est-elle pour quelque chose ? Un retour circonstancié sur les différents éléments de cette affaire permet d'en mieux saisir les contours.

1992 à Waco au Texas : Parnell McNamara, Mike McNamara et Bill Johnston, enquêtent sur la disparition de Melissa Northrup, 22 ans, enceinte et mère de deux enfants. Elle s'est volatilisée pendant son service sur un tronçon isolé de l'autoroute 35. Kenneth Allen McDuff, tueur en série et ancien condamné à mort est le suspect numéro 1.

Willy Van Coppernolle, un Belge de 79 ans, a été condamné à une trentaine de reprises dans le pays pour "attentat à la pudeur" et "rapt de mineur".

Samedi 4 décembre 2004. Trente policiers de la PJ d'Orléans sont saisis pour enquêter sur la disparition d'une femme dont on n'est sans nouvelles depuis la veille.

Le 24 mars 2015, dans les Alpes, un A320 de la compagnie allemande Germanwings s'écrase en pleine montagne. L'avion qui reliait Barcelone à Düsseldorf transportait 150 personnes. L'identification des corps constitue une étape capitale pour être sûr de rendre les bons corps aux familles. En cas de telle catastrophe, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) doit pouvoir répondre rapidement aux interrogations des proches des victimes. L'autre axe de recherche prioritaire pour les scientifiques de la gendarmerie et ceux du Bureau d'enquêtes et d'analyses est bien sûr l'élucidation des causes de l'accident.

Le 19 avril 2008, un homme alerte la gendarmerie de Ginestas, dans l'Aude. Il explique qu'il est sans nouvelles de sa mère, Jocelyne, ex-comptable, et de son beau-père, Jean-Claude Saint-Aubert, ingénieur aéronautique. Pour les gendarmes, débute alors une course contre la montre pour retrouver celui ou ceux qui ont kidnappé Jocelyne et Jean-Paul.

Le 11 janvier 2002, dans la Somme, la gendarmerie est appelée pour un accident de la circulation. Quand ils s'aperçoivent que la conductrice a disparu, les gendarmes comprennent qu'ils ont affaire à quelque chose de bien plus grave. La voiture d'Elodie Kulik est le point de départ des premières investigations. Les experts de la gendarmerie doivent d'abord comprendre ce qui est arrivé au véhicule. Le 12 janvier, le corps calciné de la jeune femme est retrouvé dans la campagne. Un autre axe d'enquête s'ouvre alors, les enquêteurs scientifiques espérant trouver des traces ADN. Ce n'est que vingt ans plus tard que l'ADN trouvé sur la scène de crime permettra d'identifier l'un des auteurs du viol et du meurtre d'Elodie Kulik.

Frédéric Bourdin, ancien imposteur en série français que la presse surnomma "Le Caméléon", affirme avoir endossé au moins 500 identités différentes, dont celle de Nicolas Barclay, un jeune garçon disparu en 1994. Bien que Bourdin ait les yeux bruns et un accent français, il a réussi à convaincre les autorités texanes ainsi que la famille qu'il était leur fils blond aux yeux bleus.

Un homme masqué et armé agresse une famille. Mais le tueur laisse des indices derrière lui et les preuves scientifiques révèlent une réalité pire que ce qu'ils imaginaient. Une scène de crime maquillée en cambriolage intrigue la police. Un témoin oculaire affirme avoir vu deux hommes quittant la scène de crime.

Christophe Rocancourt, un imposteur français, a escroqué des personnes riches et puissantes en se faisant passer pour un noble français, pour l'héritier de la famille Rockefeller, ou encore pour un prince russe. Ce n'est que lorsque sa femme américaine a alerté le FBI que Christophe Rocancourt a été arrêté et condamné à cinq ans de prison.

Une explosion a eu lieu dans une église et les deux adolescents suspectés s'accusent mutuellement. Un simple jeu pourrait-il être à l'origine de ce désastre ? Une mort inexpliquée intrigue tous scientifiques. Rien d'anormal ne semble avoir provoqué ce décès... Les médecins légistes parviendront-ils à lever le voile sur ce mystère.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

Le 16 avril 1996, Willy Pomonti, un architecte retraité, est retrouvé sauvagement assassiné. Il faudra attendre dix ans pour que la police parvienne enfin à élucider ce crime.

Un suspect en possession d'un camion volé est poursuivi. Les employés d'une station-service appellent la police lorsqu'ils aperçoivent un couple endormi à la pompe.

En novembre 2008, Jacques Heusèle, un assureur d'Arras de 59 ans, disparait. Deux mois plus tard, son cadavre est repêché dans une rivière belge. Depuis 2010, une information pour chantage, vol, assassinat est ouverte par le parquet de Béthune. Mais, pour l'instant, le mystère reste entier.

Un porte-clés personnalisé jette le doute sur l'histoire peu convaincante d'un homme. Un cycliste jette quelque chose derrière son dos dès que les policiers arrivent.

Un cambrioleur présumé prétend que son sac rempli d'argent est un cadeau de sa grand-mère. Un adjoint tente de calmer un homme qui s'est disputé avec sa femme.

Un adjoint interroge un conducteur sur la raison pour laquelle sa voiture en panne semble avoir été accidentée. Un jeune homme se retrouve dans une situation difficile.

Carole Prin a été assassinée en 1995 alors qu'elle était sur le point d'accoucher. Son compagnon, le projectionniste Roland Moog, l'a abattue d'une balle dans la nuque. Le coupable ne s'est jamais vraiment expliqué sur ce meurtre, laissant les psychiatres et les juges supposer qu'il ne supportait pas l'idée d'être de nouveau père.

Samedi 4 décembre 2004. Trente policiers de la PJ d'Orléans sont saisis pour enquêter sur la disparition d'une femme dont on n'est sans nouvelles depuis la veille.

Le 19 avril 2008, un homme alerte la gendarmerie de Ginestas, dans l'Aude. Il explique qu'il est sans nouvelles de sa mère, Jocelyne, ex-comptable, et de son beau-père, Jean-Claude Saint-Aubert, ingénieur aéronautique. Pour les gendarmes, débute alors une course contre la montre pour retrouver celui ou ceux qui ont kidnappé Jocelyne et Jean-Paul.

Un homme masqué et armé agresse une famille. Mais le tueur laisse des indices derrière lui et les preuves scientifiques révèlent une réalité pire que ce qu'ils imaginaient. Une scène de crime maquillée en cambriolage intrigue la police. Un témoin oculaire affirme avoir vu deux hommes quittant la scène de crime.

Un suspect en possession d'un camion volé est poursuivi. Les employés d'une station-service appellent la police lorsqu'ils aperçoivent un couple endormi à la pompe.

Un porte-clés personnalisé jette le doute sur l'histoire peu convaincante d'un homme. Un cycliste jette quelque chose derrière son dos dès que les policiers arrivent.

Ancien déporté pour faits de résistance, le docteur Georges Fully, inspecteur général de l'Administration pénitentiaire, a été assassiné en juin 1973.

Un cambrioleur présumé prétend que son sac rempli d'argent est un cadeau de sa grand-mère. Un adjoint tente de calmer un homme qui s'est disputé avec sa femme.

Un adjoint interroge un conducteur sur la raison pour laquelle sa voiture en panne semble avoir été accidentée. Un jeune homme se retrouve dans une situation difficile.

Stéphane Audibert, un jeune homme de 24 ans, a été condamné à treize ans de réclusion criminelle en janvier 2006 pour avoir déclenché, dans le Var, un incendie volontaire au cours duquel plusieurs pompiers ont été grièvement blessés. L'accusé a toujours clamé son innocence. L'affaire rebondit juste après le premier procès : en effet, un inconnu a appelé les gendarmes, s'accusant lui-même du crime reproché à Audibert. Le procès en appel a eu lieu au mois de novembre 2006 à Aix-en-Provence. Les trois avocats du jeune homme ont plaidé l'acquittement. Retour sur cette affaire complexe qui, en son temps, avait fait couler beaucoup d'encre.

Une femme clown accuse son mari, Monsieur Loyal, d'avoir une liaison avec la propriétaire du cirque..

Le propriétaire d'une animalerie accuse sa femme d'avoir transformé leur appartement en véritable zoo..

Le 9 octobre 2001, les médecins urgentistes sont appelés par un couple de retraités. Ces derniers développent exactement les mêmes symptômes ; ils sont pris de violents vomissements. Les médecins ne comprennent pas.

Marie Laurier est à la tête d'une grande société de parfumerie. Elle prétend que son mari et associé est homosexuel..

Michel Lambert, rédacteur en chef d'un journal de province, affirme que son épouse s'est lancée dans les massages thaïlandais pour gagner de l'argent..

En mai 2014, la richissime Monégasque Hélène Pastor et son majordome tombent dans un guet-apens, à Nice. Son gendre est vite suspecté d'être le commanditaire de l'assassinat, sans doute pour mettre la main sur l'héritage promis à sa fille. Wojciech Janowski, 64 ans, consul honoraire de Pologne à Monaco, aurait payé Pascal Dauriac, son coach sportif, pour qu'il supprime sa belle-mère. Mais comment cet homme, décrit comme équilibré, sain et sportif, a-t-il pu accepter de participer à une telle entreprise criminelle ? C'est l'une des nombreuses questions posées par cette affaire délicate.

Retour sur le procès d'Emmanuel Rist, accusé d'avoir abattu Mohammed Madsini d'une balle dans la tête en mai 2001 pour s'être trouvé "en zone germanique".

Lacanau. Nuit du 14 juin 2003. Jean-Pierre Glauzy est réveillé par des bruits dans la salle de son bar. Il se lève, prend une arme et tire sur Jamel Saifi, un jeune homme de 19 ans. Les trois amis du garçon, restés dans la voiture, entendent, à quelques secondes d'intervalle, deux détonations. Puis ils voient Jamel s'écrouler dans la rue. Prenant peur, ils s'enfuient. Mis en examen pour homicide volontaire et détention d'armes et de munitions, Jean-Pierre Glauzy prétend qu'il n'a réalisé la gravité de son acte qu'en voyant le corps étendu sur la chaussée. Lors de son procès, au printemps 2007, devant la cour d'assises de Bordeaux, les jurés ont tenté de comprendre s'il avait tiré sur Jamel Saifi avec l'intention de le tuer.

En 2005, le corps d'Audrey, une jeune femme de 24 ans, est découvert sous un lit dans l'appartement de sa mère. L'autopsie révèle que la jeune femme a été violée.

Un homme masqué et armé agresse une famille. Mais le tueur laisse des indices derrière lui et les preuves scientifiques révèlent une réalité pire que ce qu'ils imaginaient. Une scène de crime maquillée en cambriolage intrigue la police. Un témoin oculaire affirme avoir vu deux hommes quittant la scène de crime.

Samedi 4 décembre 2004. Trente policiers de la PJ d'Orléans sont saisis pour enquêter sur la disparition d'une femme dont on n'est sans nouvelles depuis la veille.

Le 19 avril 2008, un homme alerte la gendarmerie de Ginestas, dans l'Aude. Il explique qu'il est sans nouvelles de sa mère, Jocelyne, ex-comptable, et de son beau-père, Jean-Claude Saint-Aubert, ingénieur aéronautique. Pour les gendarmes, débute alors une course contre la montre pour retrouver celui ou ceux qui ont kidnappé Jocelyne et Jean-Paul.

Son premier meurtre, Claude Lastennet l'a commis à 23 ans, presque par hasard. Il tentait de cambrioler une vieille dame. Elle a résisté. Il l'a tuée. Et il y a pris goût. Dans les cinq mois qui ont suivi, il a récidivé cinq fois, tuant quatre de ses cinq victimes. Il a été condamné à perpétuité en 1997.

Le 22 juillet 2001, un témoin prévient la police d'un accident entre un vélo et une voiture. Une fois sur place, la patrouille constate que la jeune fille propriétaire du vélo, Karine Schaaff, a disparu. Les techniciens en investigations criminelles commencent les relevés sur place. Le département véhicule de l'IRCGN est saisi et vient sur place tenter d'élucider les circonstances de la collision. A partir de débris de verre provenant d'un phare de voiture, les experts tentent d'identifier le véhicule impliqué. L'identification de traces d'un produit lacrymogène ne laisse que peu d'espoir quant au sort réservé à Karine Schaaff, probablement enlevée.

Au mois d'avril 2003, la police est avertie de la disparition inquiétante depuis une semaine de toute une famille du Grand-Bornand. La piste de l'accident, d'abord privilégiée par les enquêteurs, ne débouchant sur rien, les techniciens en identification criminelle investissent le chalet de la famille Flactif. Les premiers éléments qu'ils recueillent font présager le pire. Le chalet étant très vaste et l'enquête délicate, les enquêteurs font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). La fixation de la scène de crime est la première priorité de ces spécialistes.

Un cambrioleur présumé prétend que son sac rempli d'argent est un cadeau de sa grand-mère. Un adjoint tente de calmer un homme qui s'est disputé avec sa femme.

Un adjoint interroge un conducteur sur la raison pour laquelle sa voiture en panne semble avoir été accidentée. Un jeune homme se retrouve dans une situation difficile.

Frédéric Bourdin, ancien imposteur en série français que la presse surnomma "Le Caméléon", affirme avoir endossé au moins 500 identités différentes, dont celle de Nicolas Barclay, un jeune garçon disparu en 1994. Bien que Bourdin ait les yeux bruns et un accent français, il a réussi à convaincre les autorités texanes ainsi que la famille qu'il était leur fils blond aux yeux bleus.

Christophe Rocancourt, un imposteur français, a escroqué des personnes riches et puissantes en se faisant passer pour un noble français, pour l'héritier de la famille Rockefeller, ou encore pour un prince russe. Ce n'est que lorsque sa femme américaine a alerté le FBI que Christophe Rocancourt a été arrêté et condamné à cinq ans de prison.

Terri Harris, une mère dévouée, voit sa vie basculer après avoir rencontré un homme en ligne, ignorant qu'il deviendrait l'auteur d'une effroyable série de meurtres. L'histoire explore comment ce psychopathe a bouleversé son existence.

1992 à Waco au Texas : Parnell McNamara, Mike McNamara et Bill Johnston, enquêtent sur la disparition de Melissa Northrup, 22 ans, enceinte et mère de deux enfants. Elle s'est volatilisée pendant son service sur un tronçon isolé de l'autoroute 35. Kenneth Allen McDuff, tueur en série et ancien condamné à mort est le suspect numéro 1.

En décembre 2008, Stéphane Kameugne, 24 ans, étudiant à l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons-en-Champagne, disparaît après la soirée de gala annuelle de remise des diplômes. Il est retrouvé noyé le 24 décembre. Une information est ouverte pour homicide volontaire, mais le crime n'a jamais été élucidé.

Le 18 avril 2006, à Castillon-la-Bataille, un homme prévient la gendarmerie que son amie, Suzanne Fragues, est probablement morte et qu'une forte odeur de gaz règne chez elle. Sur les lieux, les enquêteurs découvrent un cadavre qui a été l'objet d'une spectaculaire mise en scène. Face à l'ampleur du travail, les gendarmes font appel à des techniciens en identification criminelle. Les experts en traces et empreintes entrent en scène pour fixer la marque laissée dans une flaque de sang par une semelle de basket. Une fois les premières constatations effectuées et aucune piste ne se dégageant, les gendarmes font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ils ont besoin de leur aide, notamment pour analyser les mots qui ont été tracés sur le dos de la victime.

Le 22 juillet 2001, un témoin prévient la police d'un accident entre un vélo et une voiture. Une fois sur place, la patrouille constate que la jeune fille propriétaire du vélo, Karine Schaaff, a disparu. Les techniciens en investigations criminelles commencent les relevés sur place. Le département véhicule de l'IRCGN est saisi et vient sur place tenter d'élucider les circonstances de la collision. A partir de débris de verre provenant d'un phare de voiture, les experts tentent d'identifier le véhicule impliqué. L'identification de traces d'un produit lacrymogène ne laisse que peu d'espoir quant au sort réservé à Karine Schaaff, probablement enlevée.

En 1997, Jean-Baptiste Hennequin, veilleur de nuit au Grand Hôtel de Saint-Quentin, assassine sauvagement ses deux patrons et sa collègue réceptionniste à l'aide d'un fusil et d'une hache. Au cours de son procès, il n'a jamais montré le moindre regret, allant jusqu'à se poser en victime.

Un suspect en possession d'un camion volé est poursuivi. Les employés d'une station-service appellent la police lorsqu'ils aperçoivent un couple endormi à la pompe.

Frédéric Bourdin, ancien imposteur en série français que la presse surnomma "Le Caméléon", affirme avoir endossé au moins 500 identités différentes, dont celle de Nicolas Barclay, un jeune garçon disparu en 1994. Bien que Bourdin ait les yeux bruns et un accent français, il a réussi à convaincre les autorités texanes ainsi que la famille qu'il était leur fils blond aux yeux bleus.

Christophe Rocancourt, un imposteur français, a escroqué des personnes riches et puissantes en se faisant passer pour un noble français, pour l'héritier de la famille Rockefeller, ou encore pour un prince russe. Ce n'est que lorsque sa femme américaine a alerté le FBI que Christophe Rocancourt a été arrêté et condamné à cinq ans de prison.

Les douaniers découvrent un trafic de drogue, puis ouvrent une boîte de pandore lorsqu'ils commencent à fouiller dans les bagages d'un guérisseur spirituel.

À l'aéroport d'Auckland, le personnel surprend une femme en train de transporter des objets hautement illégaux. Ils l'arrêtent aussitôt, mais elle joue les innocentes.

Des objets rares en provenance du Canada sont sous les feux de la rampe. Deux voyageurs tentent de tromper le personnel de l'immigration. Mais ces derniers ont de l'expérience.

Les douaniers contrôlent un visiteur brésilien dont les bagages sont essentiellement constitués d'outils lourds, ainsi que des auto-stoppeurs indésirables.

Juillet 2003. Alexandre Lagardère se tue à l'âge de 25 ans dans un accident de voiture. L'enquête démontre qu'il s'est endormi au volant après avoir absorbé des somnifères. Un mois plus tard, un homme, Christophe Fauviau, est interpellé : il est soupçonné d'avoir drogué Alexandre en mettant un peu de sédatif dans sa bouteille d'eau pendant qu'il disputait un match de tennis contre son fils, Maxime. Rapidement, l'enquête met au jour une terrible vérité : Christophe Faviau avait l'habitude de droguer les adversaires de Maxime pendant les tournois. Vingt-sept cas similaires vont ainsi être recensés sur une période de trois ans. Cet ancien militaire a finalement été condamné à huit années d'emprisonnement.

Le 20 février 2007 s'ouvre à Quimper le procès d'Alban Novembre, qui comparaît devant la cour d'assises du Finistère pour le meurtre d'un certain Pierre Mevel. La victime, bénévole à la cathédrale de Quimper, préparait la messe lorsqu'elle a été sauvagement attaquée, dans l'après-midi du 20 juin 2004. Les trois jours d'audience doivent permettre de cerner la personnalité de l'accusé, à la santé mentale défaillante. S'agit-il d'un crime prémédité ou l'agresseur était-il totalement irresponsable au moment des faits ? A la barre, les experts sont unanimes : Alban Novembre souffre de schizophrénie. Le jury aura donc le choix entre une lourde condamnation et l'acquittement.

En 2013, la jeune Allison Benitez et sa mère disparaissent sans laisser de traces : les soupçons se portent sur le père, Francisco, qui s'est suicidé depuis.

Une femme clown accuse son mari, Monsieur Loyal, d'avoir une liaison avec la propriétaire du cirque..